Ne les oublions pas !
Depuis 2022, contraintes de fuir les violences de la guerre qui enflamme le Nord Kivu, des centaines de milliers de personnes viennent désespérément chercher refuge à Goma. Là, elles se retrouvent entassées dans des camps de déplacés surpeuplés.
Leurs conditions de vie y sont tout simplement inhumaines.
On se fabrique des abris avec des feuillages que l’on protège d’une bâche. On s’y entasse, on y survit, on y dort à même le sol de lave.
Ces camps sont pris en étau entre les lignes de front qui se rapprochent sans cesse, exposant les habitants à des risques constants de nouvelles attaques et exacerbant la situation humanitaire déjà catastrophique.
Quel avenir pour ces enfants ?
Les enfants déplacés de guerre vivent dans un climat constant de peur et de traumatisme.
Confrontés à une réalité faite de violence et d’incertitude, leur quotidien est marqué par des conditions de vie précaires : surpopulation, manque d’accès à l’eau potable, à la nourriture, aux soins médicaux et à un environnement stable.
Bien que l’accès à l’école ne soit pas une solution miracle, il représente néanmoins un moyen essentiel pour ces enfants de retrouver une vie d’enfant.
Aujourd’hui, nous encadrons et scolarisons près de 600 enfants des camps de réfugiés Ave Maria et Buvira – Kanyaruchinya.
Mais tant d’autres, plusieurs centaines, espèrent eux aussi notre soutien.
Aidez nous à faire mieux et davantage.
Ils comptent sur nous.