Essayer de trouver des solutions …

… et les mettre en pratique.
Tous les pays où nous intervenons sont aujourd’hui touchés et leurs écoles fermées. Un réel drame pour nos enfants en situation de grande vulnérabilité. Pas d’école signifie pas de cantine, alors que c’est souvent l’unique repas que l’enfant prend de toute la journée.
Les prix des denrées alimentaires flambent.
Aujourd’hui, ce sont Haïti et le Cameroun qui ferment les écoles.
Depuis une semaine, le Rwanda et le Burkina Faso avaient pris les mêmes décisions.
L’impact est divers selon l’endroit, mais partout les effets sont dramatiques pour les familles vulnérables.
Au Rwanda, un grand nombre d’enfants dépendent du Point d’Ecoute, de ses distributions de vivres ainsi que des repas servis chaque jour au centre.
Le pays a mis en place des restrictions fortes qui ne nous permettent plus aujourd’hui d’apporter cette aide alimentaire à nos enfants. Nous ne pouvons qu’espérer que les choses s’assouplissent un peu dans les jours à venir.
L’impact est important sur les programmes d’accueil des enfants des rues, comme le centre Ndako Ya Biso à Kinshasa et le village d’enfants Bumi à Lubumbashi où le confinement vient d’être mis en place.
La distanciation dans une mégapole comme Kinshasa ou Lubumbashi… Difficile à imaginer et encore plus, sans doute, à mettre en œuvre !
D’ores et déjà, Ndako Ya Biso procède à une réorganisation d’urgence de ses activités. Leur communiqué est disponible en suivant ce lien.
Nous allons essayer d’apporter toute la protection possible aux enfants hébergés dans les centres, mais il y a en tant d’autres qui resteront dehors !
Tout le monde/Monde est impacté. Restons solidaires !

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